c'est ce qu'il aurait dû faire depuis son premier gouvernement. au moins on aurait pas eu tous ces cas de trah
Par BAPTISTE, le 27.01.2011
quel est l'intérêt de ce post ?
c'est pour info ou bien pour faire peur ?
il y en a qui entendent des bruits d
Par ¨PACIFISTE, le 27.01.2011
quand vous aurez fini de réciter vos leçons sur le franc cfa vous arrêterez certainement votre long fleuve.
qu
Par HEUREUX, le 27.01.2011
si la france crois gagner cette lute cette foie ,elle se trompe.et j'en profite pour dire à la france que si e
Par AGBO, le 16.01.2011
je préfère une réflexion comme l'a faite "camerounscope " à ce ramassi de connerie que j'ai lu plus haut .vous
Par papanouveau, le 12.01.2011
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Date de création : 09.12.2010
Dernière mise à jour :
25.01.2011
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Autour de Laurent Gbagbo, un cercle restreint de fidèles. Avec Simone en clé de voûte du système. Et gare à ceux qui suggèrent à son mari de quitter le pouvoir.
Avant, c’était le temps de l’ouverture. Maintenant, c’est le temps des durs ! » Ce proche conseiller de Laurent Gbagbo, qui préfère garder l’anonymat, a le sens de la formule. A la faveur de la crise post-électorale qui met leur avenir en péril, les faucons sont de retour. Emmenée par Simone Ehivet Gbagbo, la vieille garde, fidèle et loyale, a déjà fait ses preuves dans les moments difficiles, de l’élection mouvementée d’octobre 2000 à l’après-rébellion de septembre 2002. Aujourd’hui encore, elle s’applique à assurer la survie d’un régime chahuté sur le plan intérieur et mis au ban des nations.
Au cœur du dispositif, Simone a retrouvé le périmètre d’action qui était le sien avant l’arrivée de la coépouse nordiste, Nady Bamba. Les bons résultats qu’elle a obtenus à l’issue du premier tour de la présidentielle, dans le quartier abidjanais d’Abobo, fief traditionnel de l’opposition, ont contribué à son retour en grâce. Travailleuse et combative, elle ne craint pas la tempête. Le gouvernement de Gilbert Aké N’Gbo, présenté comme un proche, porte sa marque. Elle a retrouvé l’oreille de son époux et siège à ses côtés lors des dîners à la résidence de Cocody ou au palais présidentiel de Plateau. Elle préside surtout une cellule de crise appelée aussi » conseil de guerre « , composée d’une vingtaine de caciques du régime. On y trouve, chaque soir, les fidèles Aristide Djédjé (ministre des Affaires étrangères), Ahoua Don Melo (nommé à l’Equipement), Emile Guiriéoulou (à l’Intérieur), Alain Dogou (à la Défense) et Charles Blé Goudé (à la Jeunesse). Participent aussi à ces réunions Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire (Fpi), l’influent Paul Antoine Bohoun Bouabré (ex-grand argentier), le Pasteur Moïse Koré et Kadet Bertin, le tout-puissant conseiller à la sécurité de Laurent Gbagbo.
Le seul vrai chef
C’est ici que s’élabore la stratégie du clan Gbagbo. On y planifie aussi bien la mobilisation populatire à Abidjan que les manifestations de rue en Europe. On y a récusé Raila Odinga, le médiateur de l’Union africaine. On y a décidé les attaques dans les médias fidèles au régime (sur les ondes de la Radio télévision ivoirienne, dans les colonnes de la presse partisane ou dans celles de Fraternité-Matin) et le remplacement des officiers à la tête des unités d’intervention. C’est ici aussi que l’on a choisi d’expulser les ambassadeurs du Canada et de Grand-Bretagne en poste à Abidjan et mis sur pied un collectif d’avocats, piloté par l’ancien bâtonnier Claude Mentenon, pour apporter les preuves d’une fraude massive lors du second tour de la présidentielle dans le nord du pays. Mais rien ne se fait sans l’approbation finale de Laurent Gbagbo. » Gbagbo a mis en place un système très intelligent, analyse un de ces conseillers. Quand une stratégie échoue, personne n’ose le lui reprocher. On préfère s’accuser mutuellement. Le poids de l’échec de l’accord de Ouagadougou est porté par Désiré Tagro, l’actuel secrétaire général de la présidence qui l’a négocié. Les mauvais scores du premier tour ont été mis sur le dos de Nandy Bamba, qui a orchestré la Communication. Ainsi, c’est Gbagbo qui tient son entourage « . De quoi balayer la thèse largement répandue d’un leader pris en otage par son clan. Laurent Gbagbo reste le seul et le vrai chef. Tel un entraineur de football, il procède à une rotation de ses effectifs en fonction des circonstances. Certains fidèles, comme son porte-parole, Gervais Coulibaly, ou l’ex-directeur de cabinet adjoint, Issa Malick Coulibaly, ont perdu de leur influence. Mais dans le jeu de Gbagbo, chacun a un rôle à tenir, et rien ne dit que ceux qui sont tombés en disgrâce ne retrouveront pas une place peu conforme à leurs ambitions. Pour des raisons de sécurité, le président sortant ne se rend plus à Yamoussoukro, où il aimait retrouver Nady Bamba et leur fils. Interdite de séjour à la résidence présidentielle d’Abidjan, c’est à son domicile du quartier des II Plateaux, ou même au Qg de campagne de la Riviera, que celle-ci rencontre son mari. Elle se rend parfois au palais présidentiel, mais à condition que Simone Gbagbo n’ait pas programmé d’y venir. Car, Nady n’a pas bonne presse auprès des durs du régime, et pour cause: c’est l’une des rares à avoir envisagé d’abandonner le pouvoir et à essayer d’en convaincre son mari. » Elle s’en tire bien, relativise un diplomate en poste à Abidjan. La plupart de ceux qui ont conseillé au président de partir n’ont plus accès au palais « . Autrefois proche de Guillaume Soro et de ses collaborateurs, Nady reste un relais incontournable pour passer les messages au camp adverse.
L’idée très répandue – d’un leader pris en otage par son clan ne tient pas
Autre pilier du dispositif Gbagbo : Alcide Djédjé. Il est l’interlocuteur privilégié des diplomates. Il négocie régulièrement avec les émissaires de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) et continue à rencontrer le patron de la Mission des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), le Coréen Young-Jin Choi.
Survie financière
Sur les questions financières, Gbagbo fait encore confiance au gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) à Dakar, Philippe-Henri Dacoury-Tabley. Officiellement, c’est Alassane Ouattara, dont la victoire a été reconnue par la communauté internationale, qui a récupéré la signature. Seuls ses représentants peuvent avoir accès aux comptes ivoiriens à la Bceao. Mais à Abidjan, Gbagbo a positionné des hommes autour de la branche locale de la Banque centrale et continue d’effectuer des retraits. Pour organiser sa survie financière (et être capable de payer militaires et fonctionnaires), il échange régulièrement avec Désiré Dallo, son ministre de l’Economie et des Finances, avec Feh Kessé, le directeur des impôts, et avec Marcel Gossio, le directeur général du Port autonome d’Abidjan. Il entretient des relations aussi personnelles avec certains banquiers de la place, particulièrement ceux des établissements publics (la Banque nationale d’investissement, Versus Bank, la Banque pour le financement de l’Agriculture). Laurent Gbagbo a pris soin aussi de rencontrer régulièrement les chefs de l’armée.
Il consulte le général de la garde républicaine, Bruno Dogbo Blé, et le commandant de la marine, Vagba Faussignaux. Il s’entretient avec le général Guiai Bi Poin, patron du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos), et avec son chef des opérations, Joachim Robé Gogo. Sans oublier le chef d’état-major des armées, Philippe Mangou et le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Kassaraté. Enfin, le président sortant suit de très près la guerre de l’information à laquelle se livrent les deux camps. Une guerre de la communication où tous les coups sont permis. C’est Lia Bi Douayoua, ancien ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la Communication, qui coordonne les actions (information, désinformation, propagande…), en coordination avec Silvère Nébout, conseiller spécial chargé de la communication et des médias à la présidence de la République. Mais les slogans, c’est souvent Gbagbo qui les trouve. » Je me suis trompé sur le compte de Sarkozy, c’est petit Chirac. C’est un voyou « , expliquait-il récemment à ses collaborateurs. Une formule que tous ont reprise en chœur les jours suivants. Simone Gbagbo n’est pas en reste mais donne surtout dans le registre religieux. Pour elle, le président français est le » diable « . Rayonnante dans le combat, elle cherche à communiquer son optimisme, lié à une foi profonde. Elle n’en doute pas : Laurent est le Moïse de la Côte d’Ivoire et il conduira son peuple à la terre promise. A moins que ce ne soit en enfer.
C'est ce qu'il aurait dû faire depuis son premier gouvernement. Au moins on aurait pas eu tous ces cas de trahison (la liste est longue). Il faut un régime fort avec un noyau fort.
Vous n'avez pas l'impression que M. SARKOZY qui d'ailleurs traite sa jeunesse de banlieue de voyou est un réel voyou. Savez-vous qu'il est un juriste et il arrive à baffouer la constitution d'un pays "ami".
Voici ce qu'il disait le 02/12/2010 : "Il appartient désormais au Conseil constitutionnel de proclamer les résultats définitifs dans le strict respect de la volonté clairement exprimée par le peuple ivoirien." Dans la même journée il oublie le conseil constitutionnel au profit de la CEI. bizarre non !
Et la BCEAO qui est en réalité sa propriété à travers le franc CFA n'en déplaisent aux Africains. N'a-t-il pas à travers des "pays frères" obtenu que soit baffoué le traité de l'UEMOA qui tient compte de la constitution des Etats ? Les voyous ne sont pas des délinquants hors la loi ?
Tout votre discours n'apporte rien de plus vous auriez pu nous dire que vous êtes contre GBAGBO et son entourage s'en même faire référence à toutes ces anecdotes. C'est votre droit de ne pas les aimer. Cela ne change rien au cours du monde. Dans votre haine de M. GBAGBO vous dîtes que c'est lui qui trouve les slogans. Qui vous a dit cela ? Vous avez certainement la preuve.
Connaissez-vous l'annecdote où Mme GBAGBO en est arrivé à utiliser les sobriquets "diables"...?
Savez-vous que M. GBAGBO a partagé le pouvoir avec les rebelles et l'opposition pendant près de 8 ans. Sous le poids de cette guerre les uns comme les autres se sont mis à piller. Alors quel camp allez vous innocenter ?
L'enfer n'existe que pour ceux qui y croient.
La communauté internationale vous fait perdre du temps. Elle vous pousse dans des retranchements que vous n'auriez jamais pris si elle n'était pas là. Leur soutien va durer combien de temps ? Après tout même si vous n'aimez pas Monsieur GBAGBO la Côte d'Ivoire est votre pays ? Vous allez bien devoir y vivre ou y retourner un jo ur. Lorsque vous demandez à d'autres d'intervenir dans vos problèmes personnels savez-vous ce que cela vous coutera ?
C'est un intéressant jeu d'échec. Attendons car il y aura d'autres rebondissements à la faveur d'un camp ou de l'autre. Mais l'issue finale est connue, soyez serein.
http://vames.ci.centerblog.net
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